Karen Kingston, ancienne employée de Pfizer et actuellement analyste pour les industries pharmaceutiques et des dispositifs médicaux, présente une documentation factuelle sur la possible présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid, une substance toxique à l’origine du rappel massif de masques FFP2 en France.
Voir l’interview complète ici :
Nano-vaccin recombinant contre le coronavirus avec oxyde de graphène comme support
Google Patent [archive]
La présence d’oxyde de graphène ne serait pas mentionnée dans les brevets des vaccins Pfizer et Moderna en tant que secret industriel, ce qui reste possible légalement.
Également une étude sur le graphène pour les vaccins Covid : Graphene Oxide Nanosheets Interact and Interfere with SARS-CoV-2 Surface Proteins and Cell Receptors to Inhibit Infectivity
Le Dr Astrid Stuckelberger évoque aussi la présence de cette toxine dans une interview récente.
En attendant plus d’informations sur la composition complète de ces vaccins, Ricardo Delgado de La Quinta Columna propose une solution simple pour dégrader l’oxyde de graphène.
[Voir aussi :
►L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
►Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
►Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
►Graphène et 5G
►Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
►Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?
►Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?]