Le PLAN KALERGI :
Un génocide culturel orchestré avant la deuxième guerre mondiale !
Selon Kalergi, s’il est une « race » susceptible de faire concurrence aux USA,
c’est bien la race européenne ou … « Blanche ».
S’il faut donc neutraliser la puissance européenne en fracturant son identité et ses valeurs, le métissage forcé est une solution efficace et radicale. Il sera à ce moment-là question d’un génocide ethnique et civilisationnel progressif, indolore et surtout définitif.
Dans un premier temps, Kalergi appelle à la destruction de la famille en tant qu’institut caduc et donc bon à croupir dans les oubliettes de l’Histoire. Les déviations sexuelles les plus osées seront banalisées. D’une manière générale, le strict contrôle des naissances devra devenir une priorité pour l’ensemble des pays membres de la Pan Europe, cela dans une optique purement malthusienne mettant en garde contre les effets catastrophiques de la surpopulation.
La deuxième partie du Plan Kalergi prévoie la suppression tout aussi progressive du principe de démocratie et d’égalité devant la loi. On continuera bien entendu à sacraliser ces deux notions mais dans le seul but d’en faire des instruments de pression sur les masses. La démocratie sans le peuple et l’égalité de type orwellien, si l’on veut une analogie plus moderne, seront complétés par la suppression du principe d’autodétermination des peuples.
Histoire …. d’un génocide organisé
par Anne Lauwaert
Le 9 mai 1938, Hitler rend visite à Mussolini et ils décident de créer Das Neue Europa, une dictature dans laquelle les peuples seraient enchaînés… sans frontières et parcourue de grands axes routiers.
Le SS Walter Hallstein qui en rédige le plan est fait prisonnier à Cherbourg et à la fin de la guerre est recyclé par les Américains. Il rencontre Dean Acheson à qui il confie son plan. Acheson y ajoute une pincée de CIA et le repasse à Jean Monnet qui le refile à Robert Schumann qui fait « exploser la bombe » le 9 mai 1950.
Le même ex-SS Hallstien devient le premier président de la Commission Européenne de 1958 à 1967 et en 1965 apparaît le « Plan Hallstein pour une Europe Fédérale » qui fait bondir le Général De Gaulle…
Parallèlement, on a construit à Munich une mosquée pour les ex soldats SS musulmans et celle-ci deviendra le centre de l’islam radical dans les mains des Frères Musulmans parmi lesquels, des personnalités qui sont encore actives aujourd’hui, aussi en Suisse.
Parallèlement, la propagande pro-islam est menée par des personnages du genre Sigrid Hunke, une amie de Himmler qui la met en contact avec le mufti de Jérusalem (cf. axe Berlin-Rome-Jérusalem-Tokyo) et l’introduit auprès du « Conseil des affaires islamiques du Caire ».
Sigrid publiera en 1960 « Le soleil d’Allah illumine l’Occident » qui défend la thèse selon laquelle « l’Occident a été corrompu par le judéo-christianisme alors qu’il doit tout au monde arabo-musulman »…
Thèse qui est toujours en vogue et ne sera sérieusement réfutée qu’en 2008 par Sylvain Gouguenheim dans son livre « Aristote au Mont Saint Michel », dans lequel il démontre que les origines chrétiennes de l’Occident sont grecques et que les grandes découvertes comme le zéro, l’algèbre, la boussole etc. n’ont rien à voir avec le monde arabo-musulman mais proviennent des Babyloniens, Syriens, Grecs, Indiens, Chinois etc… Le livre provoque la polémique parce qu’il est puissamment non politiquement correct…
Si aujourd’hui l’UE et l’islam sont dans l’œil du cyclone, c’est parce que les mensonges ont les jambes courtes… et plus nous examinons l’Histoire, plus nous comprenons, musulmans et non-musulmans combien nous avons été floués, manipulés, utilisés… Pas étonnant que l’UE invite à orienter les manuels scolaires d’Histoire…
Parallèlement on dénonce « Le traité transatlantique, un typhon qui menace les Européens » , traité qui est « négocié » entre l’UE et les USA derrière le dos des citoyens qui, eux, préfèrent regarder les demoiselles nues à la télé au lieu d’exiger la démocratie directe…
http://www.lesobservateurs.ch/
Nous avons découvrir comment Kalergi voulait « tiers-mondialiser » l’Europe via un brassage migratoire…
Le plan Kalergi : génocide des peuples européens
L’immigration de masse est un phénomène dont les causes sont habilement cachées par le Système, et la propagande « multiethnique » s’efforce de nous persuader qu’elle est inévitable. Dans cet article, nous voulons vous démontrer une fois pour toute que cette immigration n’est pas un phénomène spontané. Ce que l’on voudrait nous faire croire comme étant une conséquence inéluctable de l’histoire est en réalité un plan étudié sur papier et préparé depuis des dizaines d’années pour détruire complètement le visage du Vieux continent.
LA PANEUROPE
Peu de gens savent qu’un des principaux protagoniste du processus européen est aussi celui qui a planifié et programmé le génocide des peuples européens. Il s’agit d’un obscur personnage dont les masses ignorent l’existence, mais que les « puissants » considèrent comme étant le père fondateur de l’Union Européenne.
La création de la Paneurope est due à l’action d’un aristocrate autrichien née d’une mère japonaise, Richard de Coudenhove-Kalergi (1894-1972). L’objectif déclaré de Coudenhove était d’empêcher les horreurs de la Première Guerre mondiale de se reproduire. Cette intention louable n’était que l’arbre qui cachait la forêt…..
Les objectifs de la Paneurope sont clairement affichés dans le cadre des « Principes fondamentaux » qui stipulent entre autres : « (…) L’union paneuropéenne se déclare attachée au patriotisme européen, couronnement des identités nationales de tous les Européens. A l’époque des interdépendances et des défis mondiaux, seule une Europe forte et politiquement unie peut garantir l’avenir de ses peuples et entités ethniques. L’union paneuropéenne reconnaît l’autodétermination des peuples et le droit des groupes ethniques au développement culturel, économique et politique (…) »
En coulisse, loin des projecteurs, il a réussi a attirer dans ses filets les plus importants chefs d’Etat. Ils soutiendront et feront la promotion de son projet d’unification européenne.
En 1922, il fonda à Vienne le mouvement « Paneuropéen« , qui visait l’instauration d’un Nouvel Ordre Mondial basé sur une Fédération de Nations dirigée par les Etats-Unis. L’unification de l’Europe aurait été le premier pas vers un unique Gouvernement Mondial.
Avec la montée du fascisme en Europe, le Plan a du être momentanément stoppé, et l’Union Paneuropéenne contrainte de se dissoudre. Mais, après la seconde guerre mondiale, Kalergi, grâce à une frénétique et infatigable activité, grâce à des appuis importants, réussit à faire accepter son projet…
La position affichée »anti-hitlerienne » de Kalergi lui permit de s’adjoindre l’aide du Bnaï Brith, ce qui peut donner aujourd’hui l’occasion aux partisans du fameux « complot juif international » de s’exprimer à outrance, mais cela n’est qu’un leurre de plus, pour cacher l’entreprise néonazie à l’oeuvre aujourd’hui…! En réalité tout cela était orchestré pour en arriver à mettre en place un Nouvel Ordre Mondial selon le PLAN KALERGI … (Voir encadré en fin d’article)
L’ESSENCE DU PLAN KALERGI
Dans son livre « Praktischer Idealismus », Kalergi déclare que les habitants des futurs »Etats Unis d’Europe » ne seront plus les peuples originaires du Vieux Continent, mais plutôt une sorte de sous-humanité bestiale issue de mélanges raciaux.
Il affirmait, sans demi-mesure, qu’il était nécessaire de « croiser » les peuples européens avec les Asiatiques et les Noirs, pour créer un troupeau multi-ethnique sans qualités spécifiques et facile à dominer pour les élites au pouvoir.
« L’homme du futur sera de sang mêlé. La future race eurasiato-negroïde, très semblable aux anciens Egyptiens, remplacera la multiplicité des peuples […]
Voilà comment Gerd Honsik décrit l’essence du Plan Kalergi :
Kalergi proclama qu’il fallait abolir le droit à l’autodétermination des peuples et, successivement, éliminer les nations en utilisant les mouvements ethniques séparatistes ou l’immigration allogène de masse.
Pour que les élites puissent dominer l’Europe, il prévoyait de transformer les peuples homogènes en un peuple métissé; il attribuait aux métis des caractéristiques de cruauté et d’infidélité, entre autres. Ce peuple, selon lui, devait être créé et ce nouveau peuple métissé permettrait à l’élite de lui être supérieure.
En éliminant d’abord la démocratie, à savoir le pouvoir du peuple, et ensuite le peuple lui-même avec le métissage, les Blancs devaient être remplacés par une race métissée facile à dominer.
En abolissant le principe d’égalité de tous devant la loi et en préservant les minorités de toute critique, avec des lois extraordinaires les protégeant, on réussirait à contrôler les masses.
Les politique de l’époque ont écouté Kalergi, les puissances occidentales se sont basées sur son Plan, les journaux et les services secrets américains ont financé ses projets. Les leaders de la politique européenne savent bien que c’est lui l’instigateur de cette Europe dirigée par Bruxelles et Maastricht.
Kalergi, inconnu de l’opinion publique, […] est considéré comme le père de Maastricht et du multiculturalisme.
Ce qui est révolutionnaire dans son Plan, est qu’il ne préconise pas un génocide pour atteindre le pouvoir, mais qu’il prévoit de créer des « sous-humains » qui, en raison de caractéristiques négatives comme [l’incapacité] et l’instabilité, toléreront et accepteront cette « noble race » [3] (ndt noble race = élite).
DE KALERGI A NOS JOURS
Bien qu’aucun livre d’école ne parle de Kalergi, ce sont ses idées qui ont inspiré l’Union Européenne d’aujourd’hui. Sa conviction que les peuples européens devaient être métissés avec les Noirs et les Asiatiques pour détruire leur identité et créer une unique race métissée, est à la base de toute la politique européenne face à l’intégration et à la défense des minorités.
Tout cela n’est pas décidé pour des raisons humanitaires. Ces directives sont promulguées, avec une détermination impitoyable, pour réaliser le plus grand génocide de l’histoire.
Le prix européen Coudenhove-Kalergi a été institué en son honneur.
Tous les deux ans, il récompense les européistes qui se sont particulièrement distingués dans la poursuite de son Plan criminel. Parmi eux, nous trouvons des personnes du calibre d’Angela Merkel ou d’Herman van Rompuy.
La Société Européenne Coudenhove-Kalergi a décerné le premier prix européen à Angela Merkel en 2010.
Le 16 novembre 2012 le prix Coudenhove-Kalergi a été décerné au président du Conseil européen Herman von Rompuy pendant un congrès spécial qui s’est déroulé à Vienne pour célébrer les 90 ans du mouvement paneuropéen. Derrière lui on pouvait voir le symbole de l’union paneuropéenne : une croix rouge qui domine un soleil doré, symbole qui était celui de l’ordre de la Rose-Croix.
L’ONU pousse au génocide par ses constantes exhortations à accueillir des millions d’immigrés pour compenser la baisse de natalité en Europe.
Un rapport de la « Population Division » des Nations Unies à New-York (datant de janvier 2000), est intitulé : « Migrations de remplacement : une solution pour les populations vieillissantes et en déclin ».
Selon ce rapport, l’Europe aurait besoin d’ici 2025 de 159 millions d’immigrés.
On se demande comment il est possible de faire des estimations aussi précises, à moins que l’immigration ait été prévue et étudiée « sur papier ».
En fait, il est sûr que la baisse de natalité chez nous pourrait facilement être inversée avec des mesures adaptées de soutien aux familles. Et il est tout aussi évident que ça n’est pas avec l’apport d’un patrimoine génétique différent que l’on protègera le patrimoine génétique européen, et qu’en agissant ainsi, on accélère sa disparition.
Ainsi, l’unique but de ces mesures est de dénaturer complètement un peuple, de le transformer en un ensemble d’individus sans plus aucune cohésion ethnique, historique et culturelle.
Bref, les thèses du Plan Kalergi ont constitué et constituent jusqu’à aujourd’hui la base de la politique officielle des gouvernements qui poussent au génocide des peuples européens à travers l’immigration de masse.
G.Brock Chisholm, ex-directeur de l’OMS, nous montre qu’il a parfaitement appris la leçon de Kalergi quand il affirme :
« Ce que les gens doivent développer en tous lieux, est le contrôle des naissances ET les mariages mixtes (inter-raciaux), dans le but de créer une seule race dans un monde unique et dépendant d’une autorité centrale« .[4]
CONCLUSION
Si nous regardons autour de nous, le Plan Kalergi semble s’être pleinement réalisé. Nous sommes au-devant d’une vraie tiers-mondialisation de l’Europe.
L’axiome de la « Nouvelle citoyenneté », c’est le multiculturalisme et le métissage forcé. Les Européens sont les naufragés du métissage, submergés par des hordes d’immigrés africains et asiatiques. Les mariages mixtes produisent chaque année des milliers d’individus métis : les « enfants de Kalergi ».
Sous la double poussée de la désinformation et de l’abêtissement du peuple, grâce aux moyens de communication de masse, on a poussé les Européens à renier leurs propres origines, à oublier leurs propres identités ethniques. Les partisans de la globalisation s’efforcent de se convaincre que, renoncer à sa propre identité, est un acte progressiste et humanitaire, que le « racisme » est erroné, mais uniquement parce qu’ils aimeraient faire de nous des consommateurs aveugles.
Extrait d’un article traduit de l’italien par Winkelried, émanant du site réduitnational.com
Les Conférences Kalergi
Le paneuropéanisme de Richard Nicklaus de Coudenhove-Kalergi, conférence de 1939 (idée d’un patriotisme européen)
Idées contenues dans cette conférence :
- Préserver la paix, éviter la guerre
- Face à la guerre en cours, reconstruire, après la guerre, une Europe unie, une Europe égale où les peuples et les races seraient égales et non humiliées comme dans le Traité de Versailles.
- Pour atteindre cette unité : Mettre fin à la souveraineté illimitée des États (éviter cette anarchie européenne à 30 États). Se calquer sur le modèle des États-Unis d’Amérique, de l’URSS. Dans d’autres textes, il parle de livrer concurrence aux empires panbritanique, panaméricain, panrusse et panmongol.
- Une Europe qui ne soit pas uniquement basée sur une coopération économique et une unité monétaire.
- Une Europe possédant une force armée commune dont le socle premier serait l’aviation.
- Une fédération européenne qui remplacerait la Société des Nations.
- Une Europe qui serait à la tête de l’humanité.
- Dans une Europe ou la science et les techniques réduisent les instances entre les peuples et les hommes, avancer vers une union pan-européenne avec une base d’égalité nationale, de respect de la liberté humaine. Rejet des modèles de domination du matérialisme du XIXe siècle (capitalisme à outrance), de la domination allemande (raciste et totalitaire) ou bolchevique (communiste et dictatorial).
- Modèle par excellence, la Suisse qui respecte : a) les droits de l’homme, b) les libertés individuelles, c) l’égalité entre les grands et les petits États et l’intégrité des minorités ethniques et religieuses.
- Un État qui est axé sur la solidarité en politique étrangère, militaire, monétaire et économique.
- Le tout en garantissant l’indépendance et l’intégrité de tous les États fédérés. Cette idée de modèle suisse se retrouve dans d’autres écrits de Richard Nicklaus de Coudenhove-Kalergi. Pour Richard Nicklaus de Coudenhove-Kalergi, la Suisse propose un modèle partant d’un subsidiarité qui part du bas et va vers le haut. Les Suisses peuvent aussi élire et voter (comme les initiatives). Le modèles de la double majorité dans les votations suisses.
- Développement d’une mystique européenne : « De même que dans tous être vivant le corps est façonné par l’âme, de même le corps de l’Europe ne naîtra que sous l’impulsion d’un esprit européen » (p. 19). Ces racines mystiques sont à chercher dans : a) la culture classique européenne, b) la foi chrétienne, c) la conception de l’honneur des chevaliers médiévaux.
- L’Europe est une Europe chrétienne : tendance sociale et humanitaire chrétienne. Foi chrétienne.
- C’est une Europe portée par un esprit héroïque et chevaleresque.
- Assurer la paix, mais aussi la renaissance de l’Europe afin qu’elle reprenne son rôle à la tête de la planète.
- Il termine sa conférence par une exhortation à la jeunesse.
Le paneuropéanisme de Richard Nicklaus de Coudenhove-Kalergi en 1966
A) Xe Congrès paneuropéen, Vienne (7-10 octobre 1966)5 : Organisé et voulu par son mouvement pour une union fédéraliste européenne (célébration du 40e anniversaire du Ier Congrès Européen), ce Xe congrès a pour thème central : « pour un patriotisme européen ».
- 1) Il y établit le constat d’un immobilisme européen, avec une Europe qui attend en vain et avec impatience son union depuis 20 ans.
- 2) Selon lui, les espoirs de l’Europe ont été déçu par le développement du Conseil de l’Europe et du Parlement européen car il n’a pas été possible de préparer une confédération européenne.
- 3) Il y a des progrès comme avec le Marché commun qui a permis une solidarité européenne et un développement économique européen donc une prospérité pour des nombreux pays d’Europe, mais pas de confédération européenne.
- 4) Il faut alors une « nouvelle initiative pour unir 330 millions d’Européens – sans compter les neutres – entre l’Atlantique et le Rideau de fer en une Confédération ».
Ainsi, le congrès demande aux gouvernements responsables :
- 1) Une approche européenne entre les États qui puisse aussi se construire sur un niveau de politique étrangère, politique de défense et sécurité commune afin de collaborer sur le plan international au même niveau que les États-Unis et l’URSS.
- 2) Un développement des relations concrètes entre les divers peuples européens et dépasser les strictes accords militaires (OTAN par exemple ou conférences de Yalta) et tenter de surmonter la scission de l’Allemagne en deux états (RDA et RFA).
- 3) Demande est faite à l’Angleterre et à d’autres pays européens d’accepter les règles communes et de s’intégrer à brève échéance dans les Communautés européennes.
- 4) La mise sur pied de la création de la monnaie européenne unique.
- 5) Une accentuation et un développement dans le domaine de la coopération dans le domaine des technologies.
- 6) La concertation concrète et continue de toutes les forces travaillant à l’union de l’Europe.
B) Le 10 mars 1966, Richard Nicklaus de Coudenhove-Kalergi se demande :
- 1) Si l’Europe a la force de s’unir un jour pour rivaliser par rapport à la Chine, URSS, États-Unis d’Amérique, et autres puissances mondiales montantes. Il désire aussi que l’Europe s’affranchisse peu à peu de la tutelle américaine.
- 2) Si pour lui, l’Europe économique est effective, une communauté européenne de la défense est un échec. Il regrette aussi l’immobilisme de l’Union Européenne depuis ces 5 dernières années sans initiatives et progrès pour le mouvent. Avant, depuis le traité de Rome de 1957, il y avait pourtant eu des avancées (politique agricole commune,libre circulation des travailleurs union douanière, fonds de développement européen, recherche commune pour le nucléaire et les avances technologiques). Pour lui, le développement européen est trop lent et mou.
- 3) Il se demande si les Six de l’Europe (dont les 4 grandes puissances) sont conscients de leurs responsabilités dans ce piétinement et s’ils ne vont pas reprendre l’initiative dans les domaines de la politique étrangère dans des domaines comme tenir un équilibre fragile entre amitié avec l’URSS sans perdre celle des États-Unis, de négocier avec ces deux derniers états des traités de paix afin de dépasser la situation héritée de la Seconde guerre mondiale fin du rideau de fer, question allemande par l’autodétermination de cette nation, sur le renforcement et la restructuration de l’OTAN, sur le fait d’assurer la solidarité européenne et de l’étendre à toutes les régions du monde.
- 4) Il affirme : « L’heure à sonné pour les gouvernements de l’Europe de franchir le Rubicon qui sépare l’Europe d’hier – faible et désunie – de l’Europe de demain – forte et unie, prospère, libre et pacifique ». (Wikipédia)
Le Nouvel Ordre Mondial« L’arrivée d’Adolf Hitler au pouvoir, comme l’explique Antony Sutton, s’explique par les nombreux soutiens des industriels et financiers anglo-saxons via leurs homologues allemands. Dans cette affaire, le directeur de la Reichsbank, Hjalmar Schacht (1877-1970), fut un intermédiaire de première main. Son action fut d’autant plus profonde qu’il fut le ministre de l’Economie du IIIè Reich de 1934 à 1939. Le relèvement économique de l’Allemagne dû à son action permit à Hitler de poursuivre une politique qu’il n’aurait jamais pu exercer sans la remise à niveau du pays. De tels méfaits auraient dû le conduire à la peine de mort lors du procès de Nuremberg. Il n’en fut rien puisqu’il fut acquitté. En fait, Hjalmar Schacht était lié fortement à l’aristocratie commerciale anglo-saxonne. Son père, l’Etats-unien William Schacht, avait travaillé 30 ans au sein de la filiale d’Equitable Life Assurance de Berlin. Son fils était donc dès sa naissance dans le sérail du système mondialiste. Ceci est encore plus renforcé lorsqu’on sait que Hjalmar Schacht était depuis 1918 au comité directeur de la Nationalbank für Deutschland (« Banque nationale d’Allemagne »), au côté du banquier Emil Wittenberg qui était en même temps membre du comité directeur de la première banque soviétique créée en 1922, la Ruskombank. Celle-ci était dirigée par le banquier suédois … Olof Aschberg précédemment vu. Pour continuer dans le tournis, nous pouvons préciser que le directeur de la section étrangère Ruskombank, l’Etats-unien Max May, était le vice-président de Guaranty Trust Company, une filiale d’un des piliers de Wall Street, JP Morgan. Dans cette affaire, un haut représentant américain de Wall Street travaillait donc au sein de l’élite bancaire soviétique. Pour compléter le tout, la collaboration d’Hjalmar Schacht avec ce milieu était renforcée par ses liens d’amitié avec le patron de la banque d’Angleterre Norman Montagu. On comprend mieux qu’Hjalmar Schacht n’ait pas été vraiment inquiété au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Le soutien apporté par cette aristocratie commerciale et apatride anglo-saxonne au communisme, au nazisme ainsi qu’à la prise du pouvoir par Franklin Delano Roosevelt , relaté dans la trilogie Wall Street d’Antony Sutton, était aussi des formes d’expériences de laboratoires agissant dans un cadre local (Union soviétique, Allemagne nazie et Etats-Unis ). Sous une appellation différente, Antony Sutton en conclut que ces idéologies, appelées diversement « socialisme soviétique », « socialisme collectif » (pour le national-socialisme) et « socialisme de la nouvelle donne » (New Deal), n’étaient que des mises en forme d’un socialisme monopolistique ; idéal d’organisation qui doit désormais voir le jour à l’échelle planétaire dans le cadre du « nouvel ordre mondial ». La guerre de 1939-1945 résultant de tout ce travail d’arrière-fond permit le basculement vers un autre monde ; l’instauration de deux blocs apparemment antagonistes obéissant parfaitement au principe hégélien de la thèse et de l’antithèse. Cependant, ces deux mondes étant irrigués par les mêmes sources financières, il était possible de poser les jalons devant permettre la réalisation de l’Etat mondial. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, nous pouvons relever trois dates essentielles dans l’immédiate après-guerre : 1946 ; 1947 et 1948. C’est le Premier ministre britannique, Winston Churchill qui a relancé l’idée d’unification de l’Europe dans un discours prononcé à Zürich, le 19 septembre 1946. En effet, il n’hésita pas à affirmer : « Il nous faut édifier une sorte d’Etats-Unis d’Europe ». Ces propos ravirent Richard de Coudenhove-Kalergi qui était soutenu par Churchill. Le fondateur de la Paneurope s’activant de son côté à la relance de l’idéal européen exposa l’histoire de son oeuvre et des projets à accomplir dans un ouvrage intitulé J’ai choisi l’Europe. Dans ce livre, Coudenhove bénéficia de la préface de … Winston Churchill. La deuxième étape avec la réunion à Montreux en Suisse, en août 1947, constitue un passage décisif vers le renforcement des fondations de l’Etat mondial en préparation. En effet, divers représentants européens et états-uniens acquis aux principes d’un fédéralisme mondial se sont accordés pour créer deux instituts, sous l’égide du juriste suisse Max Habicht , dont l’efficacité se fait largement sentir : le « Mouvement fédéraliste mondial » (World federalist movement, WFM) et l’ « Union des fédéralistes européens » (Union of European Federalists, UEF). Le WFM a présenté sa magna carta, lors de la réunion de Montreux, favorable à l’établissement de principes clefs afin d’instaurer un Etat mondial à base fédérative. Force est de constater que 63 ans après leurs formulations, leurs vœux sont largement exaucés. Il est, en effet, affirmé que « Nous, fédéralistes mondiaux, sommes convaincus que la création de la confédération mondiale est le problème capital de notre temps. Tant qu’il n’aura pas été résolu, toutes les autres questions — nationales ou internationales — resteront sans réponses valables. Ce n’est pas entre la libre entreprise et l’économie dirigée, le capitalisme et le communisme qu’il s’agit de choisir, c’est entre le fédéralisme et l’impérialisme ». Dans la foulée, cette Déclaration propose entre autres les principes suivants : « limitation des souverainetés nationales » avec « transfert à la Confédération des pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire », « création d’une force armée supra-nationale » ; en précisant en particulier ce fait d’une très grande actualité en ce début de XXIè siècle qu’ « une juste perspective fédéraliste doit intégrer les efforts faits sur les plans régional et fonctionnel. La formation d’unions régionales (ndlr : souligné par nous) — dans la mesure où elles ne constituent pas une fin en soi et ne risquent pas de se cristalliser en blocs — peut et doit contribuer au bon fonctionnement de la Confédération mondiale ». A la fin de cette Déclaration, il est précisé de favoriser la création d’une « Assemblée constituante mondiale » . Parallèlement à la création du WFM, l’Union des fédéralistes européens (UEF) vit le jour à Montreux. Cependant, des travaux d’avant-garde avaient déjà préparé le terrain. En effet, sous l’influence de la Paneurope de R. de Coudenhove-Kalergi, il fut fondé en 1934 Europa Union défendant l’idéal d’une Europe unifiée selon le principe fédéral et inspiré du modèle suisse. Quatre ans plus tard, en novembre 1938, fut créée sous l’influence des fabiens Lord Lothian et Lionel Curtis, Federal Union. Cette dernière est une branche de l’UEF au même titre que le sont les différentes « filiales » française (l’UEF France), allemande (Europa Union Deutschland), italienne (UEF Italie) etc. Précisons que, pareil au principe des poupées russes, l’UEF est une branche du World Federalist Movement (WFM) . Par conséquent, nous avons là un institut européen oeuvrant en faveur du fédéralisme et qui épouse en même temps les travaux du WFM mais à l’échelle planétaire. Pourquoi est-il si important d’évoquer la mission de l’UEF ? Cet institut fédéraliste est dirigé par l’Anglais Andrew Duff, député au Parlement européen sous l’étiquette des « démocrates libéraux »]. Il est membre aussi du European Council on Foreign Relations (l’ECFR, « Conseil européen des relations étrangères ») créé en 2007 , jumeau européen du CFR états-unien fondé en 1921. Andrew Duff est aussi celui qui, en collaboration étroite avec la Fondation Bertelsmann et le député autrichien Johannes Voggenhuber, a permis la relance du projet de constitution européenne après l’échec des référendums français et hollandais en 2005. Le Traité de Lisbonne n’aurait pas pu voir le jour — du moins plus difficilement — sans l’appui et les convictions d’Andrew Duff. Par ailleurs, force est de constater que l’influence outre-tombe d’un Cecil Rhodes et d’un Lord Milner s’est faite sentir lors de l’élaboration de la constitution européenne (dite « Constitution Giscard » prélude au Traité de Lisbonne) en 2003-2004. En effet, le « groupe Milner » et les fabiens ont toujours été favorables à l’unification de l’Europe à condition que cela se fasse sous direction anglo-saxonne. Au cours des deux guerres mondiales, les tentatives d’unité européenne sous direction allemande, puissance terrestre, ne pouvaient pas être acceptées par Londres et par Washington car la thalassocratie anglo-saxonne se retrouvait exclue des affaires du vieux continent. Richard de Coudenhove-Kalergi l’avait parfaitement compris à la lecture de son discours en 1950. Par conséquent, il est utile de s’intéresser au secrétaire général chargé de téléguider les travaux de la « Constitution Giscard », l’Anglais John Kerr. Son Curriculum vitae révèle qu’il est à la tête d’une compagnie pétrolière, la Royal Dutch Shell, et qu’il a été aussi ambassadeur de Grande-Bretagne aux Etats-Unis. Ses liens avec l’aristocratie commerciale anglo-saxonne révèlent aussi qu’il est membre du comité directeur chargé du recrutement des élites dans le cadre des « bourses d’études Cecil Rhodes ». Comme on peut le constater, la réussite de l’entreprise mondialiste est une affaire de temps ; mais ils y arrivent. Enfin, le Congrès de la Haye (7-10 mai 1948) sous la présidence d’honneur de Winston Churchill et réunissant près de 800 militants pro-européens a posé les premiers fondements d’une Europe unifiée. La figure de proue de ce Congrès fut le secrétaire général Joseph Retinger (1888-1960). Les vrais acteurs de l’histoire sont souvent dans les coulisses. C’est le cas de Retinger travaillant au service du CFR et du RIIA dont l’action fut déterminante dans le développement des structures mondialistes… Une église catholique au service du nouvel ordre mondialQue l’on soit croyant ou pas, l’étude des principes animant une Eglise doit se faire avec objectivité. Il faut étudier les préceptes qu’elle défend et observer si les propos et les actions qu’elle mène sont en conformité ou pas avec son corps de doctrine. Dans le cas de l’Eglise catholique, le concept défendu depuis 2000 ans s’appuie sur la primauté de Dieu sur l’homme. Les Ecritures et la Tradition constituent le socle intouchable, le dépôt de la foi selon les termes consacrés, définies par le successeur de saint Pierre, le pape. L’homme marqué du péché originel doit se conformer à une autorité supérieure et obéir à l’ensemble des préceptes défendus par l’Eglise catholique. Ces principes sont immuables. Quand on n’est pas d’accord avec ces principes, on quitte l’Eglise catholique. C’est le cas des multiples Eglises protestantes. Cependant, un changement fondamental s’est produit avec le concile Vatican II (1962-1965). Ce concile est le résultat d’un long courant de réflexions animant de nombreux hommes d’Eglise mais aussi hors de l’Eglise dès le XIXè siècle. Après un long combat entre les défenseurs de la Tradition et les progressistes ; ces derniers ont pu imposer leur vision lors de la grande réforme de Vatican II. Pour ces partisans, il s’agit d’adapter l’Eglise aux multiples innovations politiques, techniques et sociales marquant l’évolution du monde. Pour les défenseurs de la Tradition, c’est tout l’inverse. C’est au monde de s’adapter aux principes de l’Eglise. Cette humanisation de l’Eglise passant par la promotion des droits de l’homme et sa collaboration avec les instances internationales ont été clairement affichées en 1963 dans l’encyclique du pape Jean XXIII, Pacem in terris. Rappelant les progrès de la science et des techniques conduisant à « intensifier leur collaboration et à renforcer leur union » au sein du genre humain ; il s’agit de renforcer le « bien commun universel » que les Etats ne peuvent plus assurer selon l’encyclique. C’est pourquoi, le document ajoute en toute logique que « De nos jours, le bien commun universel pose des problèmes de dimensions mondiales. Ils ne peuvent être résolus que par une autorité publique dont le pouvoir, la constitution et les moyens d’action prennent eux aussi des dimensions mondiales et qui puisse exercer son action sur toute l’étendue de la terre. C’est donc l’ordre moral lui-même qui exige la constitution d’une autorité publique de compétence universelle ». Souhaitant que ce « pouvoir supranational ou mondial » ne soit pas instauré de force, l’encyclique approuve la Déclaration des droits de l’homme de 1948 en dehors de quelques objections. Elle ajoute que « Nous considérons cette Déclaration comme un pas vers l’établissement d’une organisation juridico-politique de la communauté mondiale ». Ce changement de direction de l’Eglise catholique est la marque de fabrique de tous les papes depuis Vatican II. Lors de son message de Noël en 2005, Benoît XVI a encouragé les hommes à s’engager « dans l’édification d’un nouvel ordre mondial » . Il est donc tout à fait logique que Benoît XVI ait appelé à l’instauration d’une « autorité politique mondiale » dans son encyclique Veritas in caritate en juillet 2009. Rappelant l’interdépendance mondiale, le pape appelle à « l’urgence de la réforme de l’Organisation des Nations Unies comme celle de l’architecture économique et financière internationale en vue de donner une réalité concrète au concept de famille des nations (…) ». Extrait d’un article du site : http://www.voltairenet.org/ |
DOSSIER réalisé à partir de plusieurs sources.
Vous pouvez partager ce texte à condition d’en respecter l’intégralité et de citer l’auteur, la source et le site : http://www.elishean.fr/
Copyright les Hathor © Elishean/2009-2017/ Elishean mag