« En sciences, les théories doivent reposer sur les faits et le raisonnement, et non pas par sur l’autorité et le dogme. »
Thomas Huxley (1860)
Les germes (bactéries et virus) sont partout. Dans l’air que nous respirons, dans les aliments que nous mangeons, dans l’eau que nous buvons et sur tout ce que nous touchons. Nous y sommes constamment exposés mais, la plupart du temps, nous conservons une santé parfaite. Si les germes donnaient des maladies, pourquoi ne sommes-nous pas tout le temps malade ?
Si les germes étaient la cause des maladies, pourquoi, dans ce cas, des millions de gens peuvent-ils porter en eux des germes de la grippe, de la tuberculose, du tétanos, des infections à staphylocoques et de nombreuses autres maladies, tout en restant parfaitement bien portants ? En Europe, pendant la dernière partie du 19ème siècle, pratiquement tous les citadins étaient infectés par le germe de la tuberculose, mais seule une infime partie tomba malade. Le New England Journal of Medicine signale que plus de 25 millions d’Étasuniens sont infectés par le virus de l’herpès, mais juste une minorité de ceux-ci développent des lésions génitales herpétiques. Au cours de l’épidémie de polio des années 50, des millions de gens étaient porteurs du virus de la polio, mais, là encore, à peine une infime fraction (moins de 1%) développèrent la maladie.
Si les germes sont la cause des maladies, comment expliquer dans ce cas que, dans de nombreuses maladies soi-disant provoquées par un germe particulier, ce germe soit absent ? Sir William Osler, l’un des médecins les plus renommés de son temps, affirmait que le germe de la diphtérie était absent dans 28 à 40% des cas de diphtérie. Selon le diagnostic médical de Green, le germe de la tuberculose est souvent absent dans les premiers stades de la tuberculose. Des chercheurs en médecine ont noté que de nombreux cas de SIDA se produisent chez des gens qui ne montrent pas l’ombre d’un virus du SIDA. Alors, si l’on peut développer la maladie sans le germe, comment, dans ce cas, le germe pourrait-il en être la cause ?
Le professeur René Dubos, le microbiologiste le plus renommé de son temps et qui fut cité par le journal Scientific American comme l’un des penseurs écologiques les plus influents du 20ème siècle, rejetait la théorie des germes et alla même jusqu’à dire, « Les virus et les bactéries ne sont pas la seule cause des maladies infectieuses, il y a autre chose. »
Pour aller plus loin (en anglais) :
– Un modèle médical incorrect : la théorie des germes
– Songe et mensonge de Louis Pasteur
– Les virus
L’immunité, un mythe médical
Du point de vue médical, l’immunité est l’état par lequel notre système immunitaire serait capable de reconnaître et de détruire les microbes à l’origine de maladies précises. Ainsi, par exemple, quand l’organisme est immunisé contre la rougeole, il est supposé que, si le corps entre en contact avec des germes de rougeole, le système immunitaire prendra des mesures immédiates pour les détruire, empêchant ainsi la rougeole de se déclarer. Ça sonne bien en théorie, mais ça ne marche pas en pratique.
De nombreuses études ont montré que la rougeole, la rubéole, la diphtérie et d’autres maladies, peuvent toujours se déclarer chez des gens totalement immunisés. L’une de ces études a été publiée dans le Journal of the American Medical Association (en mai 1990) sous le titre « Rougeole bénigne et échec du vaccin secondaire contre la rougeole au cours d’une épidémie soutenue dans une population bien vaccinée. » Cet article explique que, « Les études sérologiques montraient constamment un taux élevé de séroconversion après la vaccination, avec persistance à long terme de la concentration d’anticorps… les données des dernières épidémies de rougeole montrent peu ou pas de baisse de l’immunité, un taux élevé d’efficacité du vaccin apparent. Toutefois, le nouvel incident épidémique soutenu dans la population scolaire très bien vaccinée était inattendu. » En d’autres termes, une épidémie de rougeole s’est déclarée chez des étudiants qui étaient totalement immunisés contre la rougeole.
En réalité, un taux élevé d’anticorps (immunité) ne garantit pas la protection contre la maladie, comme le fait remarquer le médecin australien et chercheur en vaccin, Archie Kalokerinos, « Le taux d’anticorps sert à mesurer le degré de protection contre une maladie particulière, et les autorités disent toujours qu’il indique la protection, mais elle n’existe pas. Vous pouvez avoir des tonnes d’anticorps et aucune protection, ou vous pouvez n’avoir aucun anticorps et des tonnes de protection. »
La fausse prémisse vaccinale
La vaccination repose sur la prémisse selon laquelle l’immunité est la seule protection contre les maladies infectieuses et, sans elle, si vous être exposé au germe d’une maladie, vous pouvez tomber malade et même mourir ! Ainsi, par exemple, si vous êtes exposé au virus de la polio sans être immunisé contre elle, vous pouvez contracter cette maladie et mourir. Ou, si vous ne mourez pas, vous pouvez développer une paralysie ou d’autres horribles complications.
Eh bien, la vérité c’est que la majorité des gens non immunisés, contre le soi-disant germe spécifique d’une maladie n’attraperont pas cette maladie. Au cours de l’épidémie de polio des années 50, la revue médicale australienne (9 février 1952, p. 170) publia un article qui indiquait : « Quand un virus infectieux est introduit dans l’organisme d’une personne dénuée d’immunité préexistante, c’est seulement en de très rares occasions que le virus parvient à produire de graves dommages dans l’ensemble ou la plupart des cellules qui sont théoriquement prédisposées à ses actions. »
En fait, quelques années plus tôt, le British Medical Council publia une étude (rapport n° 272 de mai 1950) montrant qu’il n’existe pas de relation entre le taux d’anticorps (immunité) et l’incidence de la diphtérie. Il fut constaté que beaucoup de patients diphtériques avaient un taux élevé d’anticorps (immunité), alors que de nombreux médecins, infirmières et amis qui étaient en contact permanent avec eux et avaient un taux d’anticorps faible (pas d’immunité), restaient pourtant parfaitement bien portants. Le Conseil déclara : « Certains des résultats obtenus étaient si inhabituels et inattendus, si contradictoires, voire paradoxaux, que l’étude, qui avait été initialement envisagée et mise en vigueur, devait être menée à son terme. »
Le concept vaccinal repose sur la prémisse selon laquelle, immunisé, on est protégé et non immunisé, on n’est pas protégé. Ce n’est pas le cas.
Voir aussi (en français) :
– Pourquoi les vaccins sont inefficaces
– Quelques faits historiques montrant le danger et l’inutilité des vaccins
Immunité à vie ? Il n’existe rien de tel
C’est un fait que la plupart des enfants qui contractent la rougeole, la varicelle, la rubéole et l’une des autres maladies infantiles ordinaires, ne contracteront plus jamais ces mêmes affections. Je n’accepte cependant pas la croyance ou la supposition que ce serait parce que ces maladies confèrent une immunité à vie, qui empêche de les contracter à nouveau.
La rougeole, la varicelle, la rubéole et les autres maladies infantiles représentent une crise aiguë de désintoxication. Pour que le corps soit capable de mettre en œuvre une crise aiguë, il doit avoir la grande réserve de vitalité que possèdent la plupart des enfants. Malheureusement, au moment où la majorité des enfants deviennent adultes, leur réserve de vitalité est grandement diminuée, à cause surtout des mauvaises habitudes alimentaires, des médicaments, des vaccins, des poisons chimiques dans les aliments et l’eau, des polluants atmosphériques et des effets dépressifs de la peur, de l’inquiétude et des autres des émotions négatives. À l’âge adulte, peu de gens ont gardé la vitalité nécessaire pour installer une crise aiguë comme la rougeole ou la varicelle.
Bien que l’adulte puisse encore avoir une crise de désintoxication, elle a le plus souvent la forme d’un rhume ou d’une grippe qui n’implique pas en général de fièvre et peut durer de quelques jours à quelques semaines. Chez l’adulte diagnostiqué de la rougeole, coqueluche, varicelle, etc, on constatera souvent que sa fièvre est inférieure de deux à trois degrés à celle d’un enfant affecté de la même maladie. C’est dû à la plus faible vitalité des adultes.
Chez l’enfant dont la vitalité reste forte et qui n’a pas d’antécédents d’absorption de médicaments, aucune raison physiologique ne l’empêche de développer plusieurs fois la rougeole, la varicelle et les autres maladies infantiles, quand le niveau d’intoxication de son organisme dépasse le seuil de tolérance. Herbert Shelton, le praticien le plus renommé de l’Hygiénisme Naturel du 20ème siècle, a effectivement confirmé l’existence dans sa propre expérience clinique de cas de varicelle, de rougeole, etc, survenus deux, trois fois ou même plus souvent chez le même enfant.
La mémoire immunitaire ne suffit pas
La capacité de notre système immunitaire à prendre des mesures défensives contre des antigènes (substances étrangères) ne peut pas dépendre uniquement de sa mémoire. Elle dépend bien plus de la force de la vitalité inhérente à notre corps. Une analogie simple permettra de clarifier cela.
Prenez une équipe de football et faites-lui subir une séance d’entraînement épuisante de quatre heures cinq minutes avant le début de son match. À ce moment-là, au moment d’aller sur le terrain, ils seront toujours capables de reconnaître leurs adversaires, ils sauront toujours que leur but est de défendre et de les attaquer, mais leur aptitude à jouer ce rôle sera très affaiblie à cause de l’épuisement de leur énergie du fait des quatre heures d’entraînement. À cause de leur épuisement, ils seront plus que vraisemblablement débordés par leurs adversaires.
C’est très similaire à notre système immunitaire et à la façon dont il s’acquitte de son rôle. Quand notre vitalité est forte, notre système immunitaire fonctionne avec une efficacité maximale, mais si notre vitalité est faible, notre système immunitaire sera moins capable d’une action défensive, même s’il a en mémoire les antigènes qu’il rencontre.
La clé du renforcement de notre système immunitaire ne réside pas dans la création d’une mémoire immunitaire pour toujours contre des antigènes spécifiques, le corps peut reconnaître un antigène (substance étrangère) grâce à son intelligence innée. La clé du renforcement de notre système immunitaire réside dans l’élévation de notre vitalité.
« Le corps a ses propres méthodes de défense. Celles-ci dépendent de la vitalité de l’organisme à ce moment-là. S’il a une vitalité suffisante, il résistera à toutes les infections, s’il a une vitalité insuffisante, il ne le pourra pas, et vous ne pourrez pas améliorer la vitalité de l’organisme en introduisant dedans un poison quelconque. »
Dr William Howard Hay (1937)
Nouveau vaccin contre la toux !
Vous avez entendu parler du nouveau vaccin contre la toux ? Ouais ! Ouais ! Garanti à 100% sans danger et efficace. Faites vous vacciner avec, et la prochaine fois que vous aurez un truc coincé dans la gorge, au lieu de l’évacuer en toussant, vous serez foutu et crèverez en vous étouffant !
Ça paraît vachement inepte ? Eh bien, ce n’est pas plus saugrenu que de se faire vacciner pour empêcher la rougeole, la varicelle et les autres maladies. Pourquoi ? Parce que la rougeole, la varicelle et les autres maladies ont le même objectif que la toux : éliminer les matières étrangères et blessantes du système pour préserver la santé.
Pensez-y…
On ne peut pas construire une maison de brique sans briques
Chaque année, l’Organisation mondiale de la santé, parrainée par Big Pharma, va dans les pays du tiers monde et vaccine des millions d’enfants souffrant de malnutrition pour les protéger contre la rougeole, la poliomyélite, la coqueluche et les autres maladies. À ceux qui approuveraient ces campagnes, je pose une question.
La vaccination a pour but de stimuler le système immunitaire du corps pour qu’il crée des anticorps qui soi-disant luttent contre des microbes. Maintenant, pour que le corps crée des anticorps, il a besoin de protéines, puisque c’est ce dont sont faits les anticorps. Alors ma question est : Comment le corps d’un enfant souffrant de malnutrition peut-il créer des anticorps ? Les enfants dénutris sont déficients en protéine, ils n’ont pas de protéine pour créer des anticorps. Ils souffrent d’une affection connue sous le nom de kwashiorkor, qui signifie carence protéique.
Croire que vacciner un enfant dénutri stimulera la production d’anticorps de son système immunitaire, c’est croire qu’on peut construire une maison de brique sans briques !
« …et la malnutrition est considérée comme une indication supplémentaire pour vacciner les enfants. »
British Medical Journal, 22/9/90, p. 593.
Le système immunitaire – Son vrai rôle
Si le rôle de notre système immunitaire est de lutter contre les germes, une question évidente se pose : Avant tout, comment se fait-il que nous portions des germes ? Pourquoi notre système immunitaire ne se bat-il pas contre tous les germes, de sorte que nous soyons exempts de germes ? Si le système immunitaire était conçu pour nous protéger contre la polio, le tétanos, la diphtérie et les autres soi-disant microbes à l’origine des maladies, pourquoi le système immunitaire de la majorité des gens porteurs de ces germes ne prend aucune mesure défensive (aucun anticorps n’est produit), et pourquoi ces gens restent malgré tout parfaitement bien portants ?
Il n’y a qu’une seule réponse logique à ces questions : Notre système immunitaire n’est pas conçu pour combattre les microbes car, en réalité, les germes ne sont pas nos ennemis, mais nos amis. Leur objectif réel est de consommer les déchets à l’intérieur de notre corps, et donc de faciliter le travail important consistant à garder l’organisme propre. La véritable relation entre l’homme et le germe n’est pas une guerre ouverte, mais une coexistence pacifique, une relation que la biologie désigne sous le nom de symbiose.
« …quand des germes se trouvent dans un corps malade, ce n’est pas qu’ils sont venus de l’extérieur et ont provoqué la maladie. C’est parce qu’ils se sont développés à partir de cellules en décomposition dans l’organisme, et ont un rôle important à jouer en aidant à gérer les déchets et la destruction amenés par les sérums, les médicaments et les autres poisons introduits dans le corps depuis l’extérieur. »
Eleanor McBean, « The Poisoned Needle » (L’aiguille empoisonnée). [*]
Quel est donc le véritable rôle de notre système immunitaire ? Notre système immunitaire est constitué de millions de globules blancs et d’anticorps qui sont conçus pour agglutiner, engloutir et en fin de compte détruire les protéines étrangères, les excrétions bactériennes et les autres substances nocives. En d’autres termes, le véritable rôle du système immunitaire n’est pas de lutter contre les microbes, mais de débarrasser l’organisme des matières étrangères nocives et d’aider ainsi à l’importante tâche de préserver la santé physiologique.
Vaccins sans danger – Qu’est-ce que ça veut dire ?
De nombreux groupes d’éducation parentaux ont demandé aux autorités médicales de fabriquer des vaccins sans danger. Comme je pense personnellement que les vaccins ne marchent pas, je ne peux pas m’empêcher de demander : Qu’est-ce que ça veut dire ?
Délaissant cette question, je voudrais expliquer pourquoi je crois que c’est une impossibilité physiologique de fabriquer des vaccins sans danger. Les vaccins, de par leur nature même, doivent toujours contenir des matières étrangères dans le but de susciter une réponse immunitaire. Toute matière étrangère présente dans le corps est toujours potentiellement dangereuse, car, si l’organisme ne peut pas la supprimer ou l’éliminer, sa rétention dans le corps ne fera pas qu’épuiser sa vitalité et compromettre son fonctionnement normal, elle provoquera aussi la dégénérescence progressive des tissus environnants et fera ainsi apparaître des maladies chroniques.
Les vaccins ne peuvent jamais être rendus inoffensifs pour la simple raison que les matières même dont ils sont faits sont toujours de nature toxique, et donc dangereuses pour la santé humaine. Essayer de faire un vaccin sans risque, c’est comme essayer de faire de l’arsenic à déguster inoffensif !
Pour reprendre les paroles du Dr James R. Shannon, ancien directeur du National Institute of Health des États-Unis, « Le seul vaccin sans danger, c’est celui qui ne sert jamais. »
Maladies infectieuses – Une expression impropre
Le terme de maladie infectieuse implique que nous attrapons la maladie d’une autre personne. Ainsi, par exemple, nous chopons le rhume de quelqu’un. En réalité, nous n’attrapons pas le rhume de quelqu’un, nous développons un rhume à cause de notre niveau d’intoxication interne.
Quand un enfant développe la rougeole, la varicelle, la coqueluche ou l’une des autres maladies infantiles, ce n’est pas parce qu’il a contracté un germe extérieur à lui, les enfants sont tout le temps exposés aux germes associés à ces maladies. Le développement de ces affections survient quand le niveau d’intoxication de l’enfant atteint un niveau critique, car c’est à ce moment que l’organisme doit prendre des mesures d’urgence pour réduire sa charge toxique.
Je ne dis pas en ce moment que les microbes associés à ces affections ne peuvent pas se transmettre d’enfant à enfant, mais plutôt que le développement de la maladie chez l’enfant dépend moins de la virulence du germe que des conditions internes de son organisme. Ainsi, par exemple, si un enfant dont le corps est en bonne santé attrape le germe de la rougeole, il ne développera pas la rougeole. Maintenant, si la rougeole se déclare chez un enfant, ce n’est toujours pas à cause du germe, mais en raison du niveau d’intoxication interne de cet enfant. Ne pas oublier que la rougeole, comme toute maladie infantile, représente une crise de désintoxication aiguë.
En ce qui concerne les autres soi-disant maladies infectieuses, comme le SIDA, l’hépatite, l’herpès, la lèpre, la tuberculose, etc, leur développement n’est pas déterminé par la présence d’un germe ou d’un virus, mais par les conditions internes du corps. Cela explique pourquoi parmi les millions de gens porteurs de germes et de virus associés à ces maladies, seule une infime fraction d’entre eux en viennent à développer ces affections.
L’expression maladie infectieuse est impropre car il implique que la maladie peut se transmettre de personne à personne, alors qu’en réalité, la maladie ne vient pas du dehors mais de l’intérieur.
« Nous pouvons diagnostiquer des symptômes, comme les oreillons, la rougeole, le catarrhe, le cancer, la variole, etc, tout comme nous nommons les divers produits du sol, comme le blé, le maïs, l’avoine, les nombreux types de graminées, de mauvaises herbes, d’arbres, etc, mais indépendamment des noms arbitraires des symptômes apparents, tous viennent du centre et d’une unique cause. »
G Clements « The Unity and Simplicity of Disease » (L’unité et la simplicité de la maladie).
Pour aller plus loin (en anglais) :
SIDA – Divergences de vues
À quoi joue Big Pharma ?
Premièrement, ils vous font croire qu’il existe tout un tas de germes qui peuvent vous tuer. Ou s’ils ne vous tuent pas, ils provoqueront des complications et des souffrances horribles pendant longtemps.
Deuxièmement, ils vous font croire que, malgré votre bonne santé, si vous contractez l’un de ces germes, vous tomberez facilement malade et en mourrez. En d’autres termes, ils vous font croire que rien ne protège la santé.
Troisièmement, ils vous font croire que le seul moyen de vous protéger, que votre unique chance de survivre, dépend de leurs médicaments et vaccins que vous devez acheter.
La stratégie de marketing la plus efficace sur notre planète, consiste à convaincre le chaland que, s’il n’achète pas la marchandise il va crever !
Hépatite – La guérison du foie
Le foie est le plus grand organe de désintoxication du corps. L’un de ses rôles principaux consiste à décomposer les déchets azotés et les autres substances toxiques. La bonne exécution de la fonction hépatique est avant tout dépendante de la vitalité intrinsèque et de la charge toxique de l’organisme.
Chez les alcooliques, les toxicomanes, les gens dénutris et intoxiqués, et ceux qui présentent un dysfonctionnement hépatique, le niveau d’intoxication du foie peut souvent dépasser sa capacité de désintoxication naturelle, entraînant ainsi une toxicité hépatique. Cet état est potentiellement dangereux car, si rien n’est fait, il peut entraîner en fin de compte la destruction du foie, la cirrhose et le cancer.
Quand une toxicité hépatique se manifeste, tant que la vitalité de l’organisme est suffisante, il tentera des mesures correctives sous forme d’inflammation du foie, un état que les autorités médicales appellent hépatite. Le but de l’inflammation est de réduire le niveau d’intoxication du foie et de procéder à sa guérison et à sa remise en état. Ce que je suis donc en train de dire, c’est que l’hépatite n’est pas la maladie, en fait, c’est la guérison.
« La réaction inflammatoire est essentielle à la survie de l’organisme. Elle est nécessaire au maintien de l’homéostasie en cas de blessure, et sans elle l’organisme ne pourrait survivre. »
Ronald Raven, Foundation of Medicine
Cet article est une compilation partielle du site Vaccination Debate :
http://www.vaclib.org/sites/debate/
Traduction copyleft de Pétrus Lombard
Notes du traducteur
[*] Le rôle symbiotique des micro-organismes dans la maladie est évident pour qui connaît la découverte des microzymas d’Antoine Béchamp à l’époque de Pasteur. Cette découverte, refaite périodiquement et nommée autrement par d’autres chercheurs, n’est jamais répercutée par la presse spécialisée et tombe ainsi à chaque fois dans l’oubli. C’est dommage car elle démontre l’ineptie du concept vaccinal et le rôle néfaste des « remèdes » modernes, qui agissent en fin de compte en contrecarrant les processus de défense naturels de l’organisme. Pour en savoir plus à ce sujet, voir par exemple :
– Vaccins et vaccination – Les vaccins catastrophes :
www.jpchapuis.net/TextesInfo/InfoVaccins.pdf
– Le pléomorphisme ou la « nouvelle » biologie :
www.sortir-autrement.com/N0401/Sortir-Autrement-Numero-1.pdf (1ère partie en page 7 de la revue)
www.sortir-autrement.com/N0402/Sortir-Autrement-Numero-2.pdf (2ème partie en page 5)
– Les microzymas : de la conception évolutionniste à celle de l’acte créateur :
www.sortir-autrement.com/N0408/Sortir-Autrement-Numero-8.pdf (page 7 de la revue)
– Le fonctionnement des microzymas au cours des pathologies et maladies :
www.sortir-autrement.com/N0409/Sortir-Autrement-Numero-9.pdf (page 4 de la revue)
Rétablissement naturel des maladies
L’article ci-dessus nous a montré clairement que la maladie ordinaire est une condition mise en place par l’organisme pour éliminer les déchets toxiques qui l’encombrent. Ce processus nécessite cependant pour se dérouler correctement un minimum de ressources en vitamines et oligo-éléments, qui est normalement apporté par l’alimentation naturelle. Quand l’organisme dispose de ces éléments, il se rétablit tout seul au repos en quelques jours.
Santé et longévité
L’industrie de la maladie se créé un marché grâce à la complicité intéressée des autorités
Depuis Louis Pasteur, la médecine moderne a créé une réalité mythique qui lui permet d’exploiter la souffrance humaine en toute impunité. Ce business se poursuit grâce à la complicité des autorités, qui n’autorisent même pas le recours collectif en justice, pour que la population ne puisse pas se défendre efficacement contre les compagnies.
On sait que de mirobolants accords, classés secret défense dans le cas de l’épidémie inexistante de grippe porcine, sont passés entre le gouvernement et les compagnies pharmaceutiques, et que chaque année, le gouvernement creuse le trou de Sécurité Sociale pour vacciner gratuitement les vieux « contre la grippe. » On sait aussi que l’Afssaps, l’organisme de contrôle des médicaments, interdit de temps en temps l’usage d’une plante peu onéreuse et inoffensive de l’herboristerie traditionnelle, par exemple le millepertuis, car elle fait de l’ombre à une spécialité médicale chère et dangereuse. L’Afssaps retarde aussi le retrait de « remèdes » avérés être dangereux, homologue en toute connaissance de cause, comme cela découle de son rapport Le mercure des amalgames dentaires, des produits contenant des poisons violents, et ne s’oppose pas du tout à la vaccination des gens avec des soupes purulentes empoisonnées au mercure, au squalène, à l’aluminium… Comme le mercure, en particulier, même en dose infinitésimale, détruit le système nerveux et inhibe la plupart des réactions métaboliques en supplantant l’oligo-élément métallique catalyseur, il est avec d’autres métaux lourds à l’origine de toutes les maladies dégénératives invalidantes modernes, et d’une population diminuée qui constitue le bétail d’un immense marché médical.
Une médecine entre des mains de psychopathes
Après tout ce qui est exposé ici, ceux qui croient encore au rôle bienfaiteur de l’institution médicale moderne et donnent au Téléthon, devraient se renseigner sur l’affaire André Gernez, le pompon en matière de trahison gouvernementale. En résumé, à la fin des années 60, ce médecin conventionnel mit au point un protocole palliatif peu onéreux permettant de vaincre le cancer dans 94% des cas. D’abord accueilli avec enthousiasme, ce protocole ne fut en fin de compte pas mis en œuvre, car, c’est ce qui fut dit à l’époque, il risquait d’augmenter de sept ans la moyenne de la vie des gens et Big Pharma ne ferait plus de profits.
Il existe plusieurs vidéos sur Internet. Il faut rechercher « André Gernez » avec Google et cliquer ensuite dans la rubrique vidéos de la page qui s’affiche. On trouvera par exemple :
www.dailymotion.com/video/x975e5_dr-andre-gernez-le-scandale-du-siec_tech
www.dailymotion.com/video/x5zyur_le-cancer-y-une-affaire-rentable_news
Source : http://www.alterinfo.net/Le-peuple-microbien-le-faux-ennemi_a41498.html