Le Covid-19 existe-t-il ?
Vous connaissez la réponse que l’on donne à cette question depuis décembre 2019 : il ne peut pas apparaître sur Terre de « nouveaux » virus, tout comme il ne peut pas apparaître de nouvelles espèces humaines, en revanche nous serions loin d’avoir identifié tout ce qui est étiqueté « virus », ainsi que leurs familles, dont les coronavirus.
Par ailleurs, l’analyse des données mondiales des décès nous a permis d’affirmer très tôt qu’il n’y avait pas de pandémie. Que tout cela était mensonger.
Des experts en analyses biomédicales nous contactent et nous révèlent les dessous de la gigantesque supercherie des tests PCR, et donc des « cas positifs ».
Nous avons résumé dans un vocabulaire qui nous semble compréhensible les 40 pages d’informations techniques qu’ils nous ont fait parvenir (nous espérons ne pas les avoir dénaturés), à lire consciencieusement.
Comment est détectée la présence d’un coronavirus dans des cellules humaines ?
Pour détecter dans votre organisme la présence du prétendu Covid-19, le processus est suivant :
1. On prélève des cellules de vos tissus dans le fond de votre nez (cela pourrait être d’autres échantillons cellulaires).
2. On compare le matériel cellulaire prélevé à un « matériel de référence certifié » (CRM).
Une précision s’impose à ce niveau, par exemple si la question est de détecter la présence de mercure dans un aliment, il faut posséder l’aliment à tester et il faut également posséder un échantillon du mercure que l’on recherche.
Cet échantillon sert à calibrer les appareils de mesure (étalonnage des instruments), et il est appelé « matériel de référence certifié » (certifié, car ce sont des organismes scientifiques agréés qui « certifie » que le matériel utilisé est bien celui qui est indiqué, par exemple que le produit que vous utilisez comme « matériel de référence » est bien du mercure et non pas de la farine.
S’il vous manque un de ces deux éléments, aucun test n’est possible.
Si l’un de ces éléments ne correspond pas à ce que vous devez tester, alors les résultats ne concernent pas ce que vous êtes censé détecter (par exemple si le « matériel de référence certifié » n’est pas du mercure, tous les résultats qui indiqueront une présence de mercure seront mensongers).
Deux éléments indispensables : un coronavirus Covid-19 et les cellules à tester.
Donc, s’il s’agit de détecter la présence d’un coronavirus précis (le Covid-19) dans des cellules d’un organisme humain, il faut être à la fois en présence de ce coronavirus précis (matériel de référence certifié), en l’espèce un Covid-19, et des cellules de l’organisme humain concerné.
Le processus des laboratoires certifiés pour de telles analyses consiste à :
1. Acquérir le « matériel de référence certifié » (si c’est du mercure, il s’agit d’acquérir le mercure, et que cela soit « certifié » par l’organisme agréé) à cet effet, si c’est un coronavirus Covid-19, il s’agit d’acquérir le coronavirus concerné, et pas un autre, et que ce coronavirus soit « certifié » être bien un Covid-19).
2. Étalonner (régler) les instruments de mesure à ce matériel de référence qui est dilué en différentes concentrations afin de créer la « courbe quantique », c’est-à-dire de pouvoir mesurer la quantité de « matériel de référence certifié » (ici le coronavirus)
À ce sujet, il y a tout un travail préparatoire à réaliser avec le « matériel de référence certifié », il s’agit par exemple d’identifier les différentes molécules présentes dans le « matériel de référence certifié » par leur masse moléculaire.
Il faut établir des schémas de fragmentation des ions et le temps d’élution sur les colonnes de chromatographie.
Dans les fameux tests PCR, une « correspondance » est une « séquence génomique » constituée de « paires de bases », définie dans une bibliothèque numérique qui « peut ou non avoir été exécutée par rapport à une norme physique réelle dans le monde réel ».
3. Intégrer les prélèvements de cellules de l’organisme humain concerné dans les instruments de contrôle et d’analyse afin de mesurer l’éventuelle présence en leur sein du « matériel de référence certifié ». Si cette présence est détectée par les instruments, il est alors possible de déterminer leur concentration grâce à la fameuse « courbe quantique » qui a été établie (on utilise généralement les valeurs comme la masse sur le volume, telle que ng/ml – un nanogramme étant un milliardième de gramme).
Une fraude scientifique inouïe
1. Il n’existerait pas de « matériaux de référence certifiés » isolés et purifiés disponibles pour détecter la présence du Covid-19 (SARS-CoV-2) dans des cellules humaines.
Les experts qui nous contactent nous affirment qu’il est possible de trouver sur le marché des « isolats » censés contenir le « Covid-19 », mais dans la description du produit, il est précisé que ces « isolats » contiennent du matériel génétique provenant de « cellules hôtes » (cellules humaines) ainsi que de cellules de sérum bovin.
Cela signifie tout simplement qu’il s’agit d’un mélange cellulaire d’origine humaine ou bovine, mais en aucun cas un « isolat » du « Covid-19 » (ils parlent de cocktails cellulaires inidentifiables).
Ils nous citent l’exemple d’isolats commercialisés par la société BEI Resources. Les produits contiendraient essentiellement des masses de protéines appartenant aux cellules ou au sérum bovin prélevés lors de la prétendue propagation du coronavirus.
Cela signifie qu’aucun instrument de mesure ne peut distinguer les protéines propres aux cellules ou au sérum, de celles censées appartenir au Covid-19.
En fait, les isolats utilisés pour les tests PCR ne sont absolument pas constitués de coronavirus isolés, mais d’un cocktail de cellules humaines ou de sérum de bovins.
2. Lors du développement des tests PCR, aucun isolat de virus quantifié du Covid-19 n’existait. Ce qui signifie que ces tests n’ont pu être conçus pour détecter ce qui n’existait pas.
Nos informateurs nous précisent que les concepteurs de ces tests, ont triché en en utilisant des cellules de banque de gènes qui ont été délibérément et faussement étiquetées « Covid-19 ».
Les tests PCR seraient tout simplement le fruit d’une incroyable fraude scientifique.
3. En l’absence d’isolat « matériel de référence certifié » il est impossible d’étalonner les instruments de mesure d’après un échantillon de référence connu.
Cela signifie que les tests PCR ne sont pas calibrés par rapport à quoi que ce soit de réel et de physique.
Ils sont étalonnés sur les données numériques téléchargées dans une banque de données qui appartient aux laboratoires qui vendent les « vaccins ».
4. Les instruments de mesure utilisés pour les tests PCR sont incapables d’analyse quantitative -volume, masse, etc.), c’est pourquoi il est réalisé des cycles d’amplifications (les fameux cycles d’amplification).
Le problème, c’est que ces amplifications produisent ce qui est appelé un « bruit de fond » qui interfère sur les mesures et qui peut se confondre avec.
Cela signifie que les tests « positifs » par amplification (à partir d’un certain seuil), le sont aux « bruits de fond amplifiés » des instruments de mesure eux-mêmes.
La conclusion de ces experts est la suivante : « L’ensemble des processus des tests PCR relève d’un bidonnage et d’un trucage scientifiques ».
Ce ne serait jamais certifié par l’audit d’un laboratoire scientifique le plus élémentaire qui soit.
Ces processus ne pourraient pas passer l’étape de l’audit de certification technique et scientifique d’un organisme de certification agréé.
Le CDC n’aurait jamais isolé le coronavirus appelé « Covid-19 »
Ajoutons à cela qu’à la suite d’une demande de communication de documents administratifs aux États-Unis, en vertu du « Freedom of Information Act » (FOIA), une certaine Christine Massey aurait déposé plusieurs demandes de communication de documents administratifs auprès des CDC (Centers for Disease Control and Prevention), plus précisément, elle aurait demandé :
– Toutes les études et/ou rapports en la possession, la garde ou le contrôle des CDC et/ou de l’Agence du Registre des Substances toxiques et des Maladies (ATSDR) décrivant la purification de tout virus « COVID-19 » (y compris B.1.1.7 », « B.1.351 », « P.1 » et tout autre « variant ») (par macération, filtration et utilisation d’une centrifugeuse, également appelée parfois par certaines personnes « isolement »), directement à partir d’un échantillon prélevé sur un humain malade, où l’échantillon du patient n’a d’abord été combiné à aucune autre source de matériel génétique.
Le 7 juin 2021, le CDC aurait répondu : « Une recherche dans nos dossiers n’a révélé aucun document relatif à votre demande. Plus précisément, le CDC national (« National Center for Immunization and Respiratory Diseases ») indique qu’il ne purifie ni n’isole aucun virus COVID-19 de la manière décrite dans les demandes. »
Ce qui reviendrait à dire que les CDC n’ont jamais isolé et purifié le moindre coronavirus Covid-19.
Pour aller sur le site de FOIA, cliquez sur « Freedom of Information Act ».
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Alors, existe, existe pas ?
Quid de la prétendue arme biologique qui aurait été créée à Wuhan ?
Par ailleurs, nous sommes également très sceptiques quant à la réalité d’une arme biologique qui aurait été utilisée par le Parti communiste chinois afin de détruire l’Occident.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que ce serait une arme bien peu efficace, puisqu’elle ne tuerait que les personnes très âgées et souffrant de multiples pathologies.
Bref, essayer de trier le vrai du faux nous paraît totalement inutile, puisque tout est mensonger dans cette fausse pandémie !
Allons-nous la perdre ou la gagner ?
La seule question qui vaille est celle de la guerre que nous ont déclarée les néonazis mondialistes : allons-nous la perdre ou la gagner ?
Cela ne dépend que de nous.
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- Confirmation en 8 minutes, par Astrid Stuckelberger :
- Un site remarquable de précisions et d’informations autour de cette crise :