Il est révoltant de constater le décalage entre la vulnérabilité de la vie, qui se construit avec temps et patience, ce qui en fait son éternelle beauté,
et la facilité avec laquelle la destruction peut s’opérer.
Le film Avatar le montre bien (avec cet arbre multicentenaire que les armes militaires destructrices abattent en quelques minutes).
De même que dans le film « Fleur du désert », comment une mère peut conduire son enfant à l’excision ?
C’est forcément par le régime de la terreur qui oblige la soumission à des pratiques et traditions stupides et antibiotiques !
Toute évolution de nos sociétés, s’est toujours faite avec des gens courageux et résistants (Jésus, Gandhi, Mandela, …), même si par la suite, l’histoire (officielle) vénère ces héros comme icônes de sagesse et d’amour, ce sont au moins à leurs débuts, de sacrés résistants.
Nous avons ce pouvoir, d’autant plus que le régime de terreur, ici chez nous, est exercé sous une forme subtile de maintien dans l’ignorance de masse.
Or nous avons connaissance et conscience, ce qui nous confère le pouvoir et le devoir, en tant que parent des générations futures, de résister.
Évidemment qu’une des multiples manières de faire en sorte que rien ne change, est de répandre la douce idée que maintenant tout se résout dans la paix et le calme, qu’il suffit d’être rempli d’amour, de se libérer de ses émotions . . .
Rien de tel pour devenir le parfait robot insensible.
C’est aussi l’image qu’on nous verse du Bouddha, et des bouddhistes méditants au crâne rasé, donc privés de leurs antennes de sensibilité que sont les cheveux – Voir le film Samsara.
Le Tibet en est la parfaite représentation, les prières n’empêchent pas les chinois de continuer la colonisation du pays.
Quelle folie que ce nouille age, il est temps de manifester notre dégout pour ces discours endormants et misérablement politiquement corrects !