ADN et Internet

 

Jean Pierre Marrigues
Par Jean Pierre Marrigues
Il est prouvé qu’il existe un type de médecine entièrement nouveau dans lequel l’ADN peut être influencé et reprogrammé par des mots et des fréquences sans couper et remplacer des gènes isolés.
Les Chercheurs russes convaincus que la nature n’est pas stupide, ont rejoint des linguistes et des généticiens dans une étude pour explorer les 90 % « ADN débarras ». Leurs résultats, découvertes et conclusions sont tout simplement révolutionnaires !
Selon eux notre ADN n’est pas seulement responsable de la construction de notre corps, mais sert aussi comme stockage de données  et dans la communication. Les linguistiques russes ont constaté que le code génétique particulièrement dans les 90 % soi-disant inutiles, suit les mêmes règles que toutes nos langues humaines.
A cette fin, ils ont comparé les règles de syntaxe (la façon dont les mots sont mis ensemble pour former des expressions et des phrases), la sémantique (l’étude de la signification/du sens dans le langage) et les règles de grammaire de base. Ils ont constaté que les corps alcalins de notre ADN suivent une grammaire régulière et suivent des règles tout comme nos langages.
Donc les langues humaines ne sont pas apparues par des coïncidences, mais sont le reflet de notre ADN  inhérent.
Le biophysicien et biologiste moléculaire russe, Pjotr Garjajev, et ses collègues ont également exploré le comportement vibratoire de l’ADN. Le fait est que «  des chromosomes vivants fonctionnent comme des ordinateurs solitoniques-holographiques utilisant  les radiations laser de l’ADN endogène. » Cela signifie qu’ils ont réussi, par exemple, à moduler certaines fréquences sur un rayon laser avec lequel, ils ont influencé la fréquence de l’ADN et ainsi l’information génétique.
Puisque la structure des paires alcalines de l’ADN et celle du langage ont la même structure, le décodage de l’ADN est inutile. Il suffit simplement d’employer les mots et les phrases de la langue humaine ! Cela, aussi, a été prouvé avec des expériences !
La substance vivante de l’ADN (dans le tissu vivant, pas in-vitro réagira toujours aux rayons laser modulés linguistiquement et même aux ondes radio, si les fréquences appropriées sont employées. Cela explique finalement et de manière scientifique pourquoi les affirmations, la formation autogène, l’hypnose peuvent avoir de tels effets sur les humains et leur corps. C’est tout à fait normal et naturel que notre ADN réagisse au langage.
Simple hasard ?
Les Russes ont travaillé avec enthousiasme sur des dispositifs qui peuvent influencer le métabolisme cellulaire par le biais de fréquences radio et lumineuses modulées appropriées et réparer ainsi des défauts génétiques.
Le groupe de recherche de Garjajev a réussi à prouver qu’avec cette méthode, des chromosomes endommagés par des rayons X par exemple peuvent être réparés. Ils ont même saisi de l’information génétique d’un ADN particulier et l’ont transmis sur un autre, reprogrammant ainsi des cellules en un génome. Ils ont ainsi transformé avec succès, par exemple, des embryons de grenouille en embryons de salamandre simplement en transmettant les informations génétiques de l’ADN !
Par ce moyen, toute l’information a été transmise sans aucun effet secondaire ou désagréments rencontrés habituellement en coupant et en réintroduisant des gènes isolés de l’ADN.
Cela représente une révolution et une sensation incroyable qui transforment le monde ! Tout cela en appliquant simplement des vibrations et du langage au lieu de la procédure de coupage archaïque !
Cette expérience démontre l’immense pouvoir de la génétique des ondes qui a, selon toute évidence, une plus grande influence sur la formation des organisme que les processus biochimiques des séquences alcalines.
Des enseignants ésotériques et spirituels savent depuis des éternités que notre corps est programmable par le langage, les mots et la pensée. Cela a maintenant été prouvé et expliqué scientifiquement. La fréquence doit bien sur être correcte. Et c’est pourquoi tout le monde n’y arrive pas toujours ou ne peut toujours le faire avec la même force. La personne individuelle doit travailler sur les processus intérieurs et la maturité pour établir une communication consciente avec l’ADN.
Les chercheurs russes travaillent sur une méthode qui ne dépend pas de ces facteurs mais qui fonctionnera toujours, à condition que l’on utilise la fréquence correcte.
Les scientifiques russes ont également découvert que notre ADN peut provoquer des perturbations dans le vide sidéral, produisant ainsi des « trous de ver magnétisés ! les trous de ver sont les équivalents microscopiques des ponts Einstein-Rosen dans le voisinage des trous noirs (résultats des étoiles éteintes). Ce sont des liaisons par tunnel entre des secteurs tout à fait différents dans l’univers par lesquelles l’information peut être transmise hors de l’espace et du temps. L’ADN attire ces particules d’information et les transmet à notre conscience.
Ce processus d’hyper communication est plus efficace en état de relaxation. Le stress, les soucis ou un intellect hyperactif empêchent une bonne hyper-communication ou alors l’information sera totalement déformée et inutile.
Dans la nature, l’hyper-communication a été utilisée avec succès depuis des millions d’années. Le flux organisé de la vie dans le monde des insectes le prouve de manière radicale. Quand l’hyper-communication se produit, on peut observer des phénomènes spéciaux dans l’ADN même tout comme dans l’être humain.
Les scientifiques russes ont illuminé des échantillons d’ADN avec une lumière laser. Une onde typique se formait sur l’écran. Lorsqu’ils ont retiré l’échantillon d’ADN, le schéma de l’onde n’a pas disparu, il est resté. De nombreuses expériences de contrôle ont démontré que le schéma continuait à provenir de l’échantillon enlevé, dont le champ d’énergie continuait apparemment à subsister par lui-même. Cet effet est maintenant appelé l’effet ADN fantôme.
On soupçonne que l’énergie en dehors de l’espace et du temps continue à couler par les « trous de ver » activés après que l’ADN ait été retiré. L ‘effet secondaire le plus souvent rencontré dans l’hyper communication, comme dans les êtres humains, sont des champs électromagnétiques inexplicables autour des personnes concernées. Des dispositifs électroniques comme les lecteurs de CD et autres appareils peuvent être perturbés et cesser de fonctionner pendant des heures. Lorsque le champ électromagnétique se dissipe lentement, les appareils fonctionnent à nouveau normalement.
Nous savons maintenant que, comme sur l’Internet, notre ADN peut alimenter le réseau de ses propres données, qu’il peut consulter des données du réseau et qu’il peut établir le contact avec d’autres participants du réseau. Guérison à distance, télépathie ou « sensation à distance » sur l’état de proches, etc… peut ainsi être expliqué. Certains animaux sentent aussi à distance quand leurs propriétaires projettent de revenir à la maison. Cela peut être clairement interprété et expliqué via les concepts de conscience de groupe et d’hyper-communication.
Au début des années 60, le biologiste britannique Rupert Sheldrake, de l’université de Cambridge, a établi sa fameuse théorie sur les champs morphogénétiques. Chaque être humain, de même que chaque être vivant, laisse une trace invisible de son existence. Pour la première fois, Pjotr Garjajev a pu rendre visible cette trace dans un laboratoire. La question est la suivante : à quoi sert cette trace ? Avec qui ou avec quoi « chuchotent » nos gènes ? Comment communique l’ADN, et dans quel but le fait-il ?
Le plus surprenant est que tous les résultats indiquent que l’ADN n’est soumis à aucune limitation, en ce qui touche à sa faculté de communication. Cette hyper communication ne parait pas avoir un but limité ou particulier : elle représente un point d’intersection vers ou dans un réseau ouvert – un réseau de conscience ou réseau du vivant. Comme dans l’Internet, l’ADN peut :
– introduire ses propres données dans ce réseau
– extraire des données de ce réseau
– établir un contact direct avec d’autres participants de ce réseau.
On peut dire, d’une certaine façon, que l’ADN possède sa propre « page Internet », qu’il peut « surfer » et qu’il peut «chatter » avec d’autres participants.
Ce qui est plus incroyable encore, l’ADN n’est pas limité à sa propre espèce, comme on pourrait peut-être le croire.